Dans cette zone basse où se situent les villages, les sources n'existent pas. L'accès à l'eau se limite aux marigots et, dans le meilleur cas, aux puits traditionnels qui ne donnent souvent qu'une eau malsaine.
Pour accéder à l'eau potable il faut atteindre la nappe phréatique (entre -150 et - 250 m). Ce qui implique des forages aux financements conséquents.
Le premier projet, aidé par la ville de Mouans-Sartoux, le forage de Kétapui, est un exemple de réussite. Depuis son inauguration en 2004, il fonctionne parfaitement grâce à la bonne gestion du Comité de Développement et du Comité de l'Eau du village.
L'eau - fontaine de Kétapui |
L'eau du marigot sert encore à irriguer les cultures. C'est un travail pénible et interminable.
L'eau - le marigot |
Aujourd'hui, le village d'Abolavé est à l'honneur, il inaugure sa fontaine. Le succès de ce projet est le fruit d'un travail de partenariat entre Méditerranée-Afrique-Solidarité, la ville de Mouans-Sartoux et le groupement Sichem Agro-DR dont le rôle sur le terrain est essentiel pour la promotion des villages.
L'eau - Mise en service de la fontaine d'Abolavé |
L'eau - de l'eau potable ! |
L'eau - à votre santé
Cette année, un nouveau partenaire a joué un rôle important pour en boucler le financement : l'agence de l'Eau rhône-méditerranée-corse.
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L'eau - photo officielle
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